"Il faut quelqu'un pour mourir. Et quelqu'un pour regarder mourir. De présence au bord d'un monde. Une fleur, un vase. Un regard pour celui qui part, un regard pour celui qui veille. Ce don des larmes retenues, tissé dès le premier souffle entre la mère et l'enfant, laisse réfléchir le monde doucement dans sa sagesse."